Inutile de tourner autour du pot, les Français ne sont pas bons en anglais. L’hexagone ne brille pas par sa maîtrise des langues étrangères.
L’institut de Wall Street English et le cabinet d’études Ipsos, se sont attelés à chiffrer les lacunes et s’accordent à dire que 7 Français sur 10 sont en grande difficulté lorsqu’il s’agit de s’exprimer dans la langue de Shakespeare. Seulement 8 % de la population française s’estime satisfait de leur compétence.
Cette année, au concours des pays qui se débrouillent le mieux en anglais, Education First ne décerne à la France que la 35e place. En Europe, seule l'Italie se retrouve derrière la France.
Ces mauvais résultats ne varient que très peu, ainsi l’hexagone alterne entre des résultats faibles et mauvais au cours de ces dernières années.
Sans surprise, c’est en Ile-de-France que l’on s’en sort le mieux, de manière générale, les meilleurs locuteurs anglophones se situent dans la tranche des 25-30 ans. Cette tendance a sûrement un lien étroit avec l’enseignement universitaire qui met en avant l’apprentissage de l’anglais professionnel. En effet, de nos jours, comment imaginer s’imposer dans l’univers entrepreneurial en ne maîtrisant que la langue de Molière ? Cela constitue un problème pour 73 % des Français qui reconnaissent volontiers avoir des difficultés sur leur lieu de travail, 54 % d’entre eux seraient d’ailleurs disposés à suivre une formation en dehors de leur temps de travail.
Conscient du frein majeur que représente le handicap linguistique des français dans leur vie professionnelle, le sénat propose des réformes sur l’enseignement : les spécialistes s’accordent à dire qu’il faut insister sur l’évaluation afin d’aboutir à un apprentissage évolutif et ciblé en fonction des besoins de chacun.
Pour 32 % des Français interrogés, l’apprentissage des langues serait plus efficace si l’on réduisait la taille des classes en constituant des groupes de niveaux homogènes. Il est crucial de bien cibler le niveau de chacun et de proposer un contenu qui satisfasse les attentes et les besoins de chaque apprenant. Un cours efficace repose avant tout sur la proposition d’un contenu cohérent et adapté au niveau des élèves. La méthode idéale est le questionnaire initial à fournir aux apprenants et dont les retours permettent d’évaluer les écarts de niveaux, dans le but de créer un groupe cohérent lors des formations en présentiel.
Bien cibler les besoins de ses élèves, c’est appréhender leur compétences initiales, définir leurs objectifs, repérer leurs lacunes et leurs difficultés, pour enfin établir un plan d’action et les conduire à la réussite. Les évaluations, les corrections et le suivi de la progression sont essentiels pour atteindre les objectifs de chacun. Dans un souci d’efficacité, cela implique, évidemment, un suivi individuel, puisque chaque apprenant à son propre rythme et ses propres challenges. Ce n’est pas nécessairement chose simple lors d’un cours destiné à un groupe de plusieurs élèves. Inclure un support digital est une option complémentaire dans l’air du temps qui ne manque pas de faire ses preuves.
Avec GlobalExam, nous fournissons un support complet au formateur ainsi qu’aux apprenants. Notre outil digital est une méthode à la fois simple et ludique qui permet au formateur de suivre et monitorer la progression de l’élève ainsi que ses lacunes, grâce à un système de statistique personnel complet. La solution Global Exam facilite ainsi la tâche du formateur et complète son accompagnement pour assurer l’atteinte des objectifs personnels de chaque individu. Très complet, notre outil digital propose des formations générales mais aussi une version professionnelle pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises avec des thèmes et du vocabulaire adapté selon les métiers et les secteurs d’activité.
Ainsi, pour booster les compétences linguistiques de vos apprenants, nous vous conseillons d'utiliser notre plateforme e-learning qui propose des parcours « sur-mesure » et « sur-étagère » adaptés aux besoins de chacun.